Paule Milamant

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• Le château de Franchimont

  15 mai 2008, par Paule Vermylen-Milamant

• La maison de la mère Rat

  15 mai 2008, par Paule Vermylen-Milamant

  carte de vœux
  Je croyais avoir épuisé le sujet « Chasselas » Mais c’était compter là Sans l’esprit un peu chagrin des anciens Venu me visiter et me faire convenir Qu’il y avait, avant que toutes leurs traces en soient effacées Bien des coins à redécouvrir, Bien des histoires à raconter,
  Et pour les écrire, les dessiner et ensemble en parler Souhaitons que nous soient données Encore quelques années
  De Bonne santé

• Chasselas - Une maison maconnaise

  15 mai 2008, par Paule Vermylen-Milamant

  De déchéance en déchéance, Elle affichait sa désespérance...
  Le vigneron avait d’abord déserté, Son habitat trop délabré Puis, son fenil, faute de bétail à alimenter, Et enfin sa cave, trop peu pratique...
  Comme un corps qui a fait son temps, elle se sentait prête à s’effacer... Se laisser glisser dans l’oubli, qu’il soit l’œuvre d’un mauvais génie et de ses engins destructeurs, ou celui d’un chirurgien novateur, qui redonnerait à ses traits vieillis : solidité et modernité !
  Mais (…)

• Chasselas - L’entrée du château

  15 mai 2008, par Paule Vermylen-Milamant

  La grille est ouverte ... La nouvelle année peut faire sa joyeuse entrée, Le Crémant libérer ses bulles, Le Saint-Véran accompagner les mets, Le beaujolais égrener dans son ballon rond Les notes d’une chanson...
  2006 peut bien se présenter avec tous ses défis à relever Il n’en est pas d’irréductible Pour le vigneron bourguignon !

• Evere - le clocher de Saint Joseph

  15 mai 2008, par Paule Vermylen-Milamant

• Je suis la goutte d’eau

  26 avril 2008, par Paule Vermylen-Milamant

  M’est venu sous le crayon ce petit texte que j’ai pensé destiner à mes petits enfants pour la lecture d’un soir.
  Je suis la goutte d’eau, qui m’en vais grossir le ruisseau. L’orage m’a projetée sur les rochers, De là , tant bien que mal je me suis glissée, avec mes sœurs pour compagnes, dans le ventre de la montagne. Je m’y plaisais assez dans cette cavité sombre point de bruit, une température égale, c’était le grand repos au pays des ombres.
  Oui, mais voilà, près de moi, une autre (…)